26 MARS 1962 à ALGER, rue d'Isly, devant la Grande Poste, c’est le carnage gaulliste impardonnable :
Christian Fouchet, représentant Charles de gaulle à Alger depuis le cessez-le-feu du 19 mars 1962, ordonne d'ouvrir le feu sur ses propres compatriotes, venus sans arme et en famille pour demander la levée du bouclage inhumain du quartier Pieds-Noirs de Bab-el-Oued
(bilan : 80 morts et 200 blessés dont plusieurs succomberont par la suite).
L'huile sur toile (1m21 sur 0,80m) que j'ai peinte il y a quelques années, fige les lieux du drame à 15H02, soit 12 petites minutes après l’ouverture du feu par les Tirailleurs musulmans du 4ème RTA sur une foule d’Algérois désarmée, drapeau tricolore en tête et chantant la Marseillaise et…
26 MARS 1962 à ALGER, rue d'Isly, devant la Grande Poste, c’est le carnage gaulliste impardonnable :
Christian Fouchet, représentant Charles de gaulle à Alger depuis le cessez-le-feu du 19 mars 1962, ordonne d'ouvrir le feu sur ses propres compatriotes, venus sans arme et en famille pour demander la levée du bouclage inhumain du quartier Pieds-Noirs de Bab-el-Oued
(bilan : 80 morts et 200 blessés dont plusieurs succomberont par la suite).
L'huile sur toile (1m21 sur 0,80m) que j'ai peinte il y a quelques années, fige les lieux du drame à 15H02, soit 12 petites minutes après l’ouverture du feu par les Tirailleurs musulmans du 4ème RTA sur une foule d’Algérois désarmée, drapeau tricolore en tête et chantant la Marseillaise et…